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IN THE MOOD FOR DEAUVILLE 2024 - Page 128

  • Le jury Révélation Cartier du 34ème Festival du Cinéma Américain de Deauville

    Le Jury de la Révélation Cartier de la trente-quatrième édition du Festival du Cinéma Américain de Deauville sera présidé par la réalisatrice américaine :

    ZOE CASSAVETES

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    Scellant ainsi son engouement pour le septième art, Cartier et son Jury remettront pour la troisième année consécutive :

    Le Prix de la Révélation

    Ce prix récompensera un des films de la compétition officielle pour ses qualités novatrices. Zoe Cassavetes sera accompagnée de :

    Léa DRUCKER – Comédienne

    DIASTÈME – Ecrivain, réalisateur, scénariste, auteur et metteur en scène

    Jalil LESPERT - Réalisateur, scénariste et comédien

    Ara STARCK – Peintre

  • Le prix littéraire du Festival du Cinéma Américain de Deauville 2008 décerné à François Forestier pour "Marilyn et JFK"

    livre forestier.jpgLe Prix Littéraire Lucien Barrière du 34è Festival du Cinéma Américain de Deauville dont le jury est composé de Frédéric BEIGBEDER (écrivain, éditeur et journaliste),Gilles-Martin CHAUFFIER (écrivain et rédacteur en chef de Paris Match), André HALIMI (journaliste, écrivain et cinéaste), Jean-Claude LAMY (journaliste et écrivain), Eric NEUHOFF (journaliste et écrivain) et Gonzague SAINT BRIS (journaliste et écrivain), sera décerné pendant le festival à l’écrivain :

    François FORESTIER « MARILYN ET JFK » Editions Albin Michel

    LE LIVRE

    L’histoire semble connue. Pourtant, elle n’a jamais été racontée. La star la plus désirée d’Hollywood et le président le plus charismatique des Etats-Unis ont eu une liaison qui a duré dix ans avant de se transformer en love story sous haute surveillance. Enregistrés par la Mafia, mis sur écoute par le KGB, filés par la CIA, les amants n’ont jamais été seuls. Voyeurisme d’Etat, chantage, manipulation, écoutes, élections truquées, argent sale, tout y passe : Marilyn Monroe, au bord de la folie, et JFK, à la frontière du scandale, se sont croisés. Et peut-être même, aimés. Mais, tandis que le Président écoute Marilyn chanter “ Happy Birthday ”, la guerre de l’ombre fait rage. Il y aura des morts. Particulièrement documentée, servie par une écriture superbe, le récit de François Forestier, journaliste au Nouvel Observateur, romancier et biographe, dévoile le portrait inédit et dérangeant d’une Amérique sordide, où les grands marionnettistes politiques, les gangsters et les milliardaires s’affrontent dans une lutte sans merci.

    L’AUTEUR

    Chroniqueur cinéma du Nouvel Observateur, François Forestier a écrit de nombreux ouvrages. Les deux derniers, deux biographies, l’une d’Onassis et l’autre d’Howard Hughes ont été des succès.

    LAUREATS DU PRIX LITTERAIRE DES 11 DERNIERES ANNEES

    1997 Patricia MAC DONALD "Personnes disparues"

    1998 Mary HIGGINS CLARK "Tu m’appartiens"

    2000 Marc LEVY "Et si c’était vrai"

    2001 Michael CIMINO "Big Jane"

    2002 Danielle STEEL "Le baiser"

    2003 Douglas KENNEDY "Rien ne vas plus"

    2004 Jim HARRISON "De Marquette à Veracruz"

    2005 Budd SCHULBERG "Sanctuary V"

    2006 Didier DECOIN « Henri ou Henry, le roman de mon père »

    2007 Jay MCINERNEY " La Belle Vie"

    Cliquez ici pour voir les images de la remise du prix littéraire 2007.

  • Modalités d'accréditation au Festival du Cinéma Américain de Deauville 2008

    affichedeauville2008.jpgL'an passé, j'avais consacré une note détaillée aux informations pratiques pour venir et assister au Festival du Cinéma Américain de Deauville, je vous y renvoie si vous voulez des renseignements concernant l'accès à Deauville, l'hébergement, la restauration etc .

     Cliquez ici pour accéder à cette note concernant les informations pratiques.

    Par ailleurs, je vous propose ci-dessous un récapitulatif des tarifs des accréditations 2008 (public).

    Concernant les accréditations professionnelles (gratuites), je vous renvoie à la rubrique "Espace pro" du site internet officiel du Festival.

    PASS FESTIVAL DU CINEMA AMERICAIN

    Badge bleu Permanent 145 euros
    Ce badge est strictement nominatif et non cessible. Il donne accès à toutes les séances bleues inscrites sur la grille de programmation, valable pendant 10 jours.
    Possibilité d’assister sous réserve des places disponibles aux séances rouges sur carte d’accès uniquement, à retirer sur les terrasses à 18h.

    Badge bleu Journalier 43 euros
    Accès à toutes les séances bleues, valable pendant 1 journée.

    Badge bleu Etudiant 12 euros
    Accès à toutes les séances bleues, valable pendant 1 journée

    PASS « LES NUITS AMERICAINES »


    Badge bleu Permanent +1€ 146 euros
    Avec 1€ supplémentaire, le badge permanent donne accès à toutes les séances  « Les nuits américaines » dans la limite des places disponibles.

    Badge bleu Journalier + 1€ 44 euros
    Avec 1€ supplémentaire donne accès à toutes les séances  « Les nuits américaines » de la journée couverte par le badge, dans la limite des places disponibles.

    Badge bleu Etudiant + 1€ 13 euros
    Avec 1€ supplémentaire donne accès à toutes les séances « Les nuits américaines » de la journée couverte par le badge, dans la limite des places disponibles.

     Badge « Les Nuits Américaines » 10 Euros
    Ce badge, strictement nominatif et non cessible, donne accès à toutes les séances « Les Nuits américaines » dans la limite des places disponibles.

    LIEUX DE VENTES
    Tous les types de badges bleus, le badge « Les Nuits Américaines » ainsi que les affiches et les catalogues seront en vente à la banque d’accréditation du Centre International de Deauville
    Tous les badges journaliers et étudiants et les badges journaliers et étudiants avec Nuits Américaines ainsi que les affiches et les catalogues seront en vente à l’Office de Tourisme de Deauville.

    Vous pouvez aussi vous accréditer directement par internet sur le site: http://www.badgecid.com

  • Le prix Michel d'Ornano du Festival du Cinéma Américain de Deauville 2008

    L'un des temps forts du Festival du Cinéma Américain que je m'efforce de ne jamais manquer est la projection du prix Michel d'Ornano,qui avait lieu auparavant au Casino et désormais au CID. Ce prix a d'ailleurs révélé de nombreux jeunes réalisateurs depuis sa création en 1992. Parmi les meilleurs:  "Le Bleu des villes" de Stéphane Brizé, "La petite Jérusalem" de Karin Albou, "La faute à Fidel" de Julie Gavras etc.

    Qu'est-ce que le prix Michel d'Ornano?

    Un jury international composé de journalistes anglo-saxons, présidé par Jean-Guillaume d’Ornano, remettra officiellement le Prix Michel d’Ornano 2008 lors de la cérémonie de clôture du Festival le dimanche 14 septembre au premier film français JOHNNY MAD DOG de Jean-Stéphane Sauvaire.

    Créé en 1991 par les compagnies membres de la Motion Picture Association (les « major companies » de production et distribution de films américains), le Prix Michel d’Ornano, dédié à la mémoire de Michel d’Ornano (ancien ministre, maire de Deauville et fondateur du Festival du Cinéma Américain), a récompensé depuis 1992 le meilleur scénario de long métrage d’un jeune auteur français.

    En 2007, le Prix Michel d’Ornano prend une nouvelle orientation en récompensant dorénavant un premier film français, dans le but d’aider à sa reconnaissance, sa promotion et son exportation.

    Le cinéaste lauréat recevra 3 000 euros, le producteur 3 000 euros et une aide à la promotion du film de 10 000 euros sera également remise au distributeur.

    Le prix Michel d'Ornano 2008

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    JOHNNY MAD DOG de Jean-Stéphane Sauvaire avec Christopher Minnie, Daisy Victoria Vandy, Dagbeh Tweh, Barry Chernoh, Prince Kotie, Mohammed Sesay

    Pitch:  Afrique, en ce moment même. Johnny, 15 ans, enfant-soldat aux allures de rappeur, armé jusqu'aux dents, est habité par le chien méchant qu'il veut devenir.
    Avec son petit commando, No Good Advice, Small Devil et Young Major, il vole, pille et abat tout ce qui croise sa route. Des adolescents abreuvés d'imageries hollywoodiennes et d'information travestie qui jouent à la guerre...
    Laokolé, seize ans, poussant son père infirme dans une brouette branlante, tâchant de s'inventer l'avenir radieux que sa scolarité brillante lui promettait, s'efforce de fuir sa ville livrée aux milices d'enfants soldats, avec son petit frère Fofo, 8 ans.
    Tandis que Johnny avance, Laokolé fuit...
    Des enfances abrégées, une Afrique ravagée par des guerres absurdes, un peuple qui tente malgré tout de survivre et de sauvegarder sa part d'humanité.

  • "Sur la route de Madison" de Clint Eastwood

    La venue de Meryl Streep pour l'ouverture de ce 34ème Festival du Cinéma Américain, la projection de "L'échange" de Clint Eastwood en Première de ce même festival, la programmation de "Sur la route de Madison" à l'occasion des "Nuits Américaines": autant de prétextes pour moi pour vous livrer ma critique de ce film sublime...

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    medium_route_1_bis.2.jpgL’éphémère peut avoir des accents d’éternité, quatre jours, quelques heures peuvent changer, illuminer et sublimer une vie. Du moins, Francesca Johnson (Meryl Streep)  et Robert Kincaid (Clint Eastwood) le croient-il et le spectateur aussi, forcément, inévitablement, après ce voyage bouleversant sur cette route de Madison qui nous emmène bien plus loin que sur ce chemin poussiéreux de l’Iowa. Caroline et son frère Michael Johnson  reviennent dans la maison où ils ont grandi pour régler la succession de leur mère, Francesca. Mais quelle idée saugrenue a-t-elle donc eu de vouloir être incinérée et d’exiger de faire jeter ses cendres du pont de Roseman, au lieu d’être enterrée auprès de son défunt mari ? Pour qu’ils sachent enfin qui elle était réellement, pour qu’ils comprennent, elle leur a laissé une longue lettre qui les ramène de nombreuses années en arrière, un été de 1965… un matin d’été de 1965, de ces matins où la chaleur engourdit les pensées, et réveille parfois les regrets. Francesca est seule. Ses enfants et son mari sont partis pour un concours agricole, pour quatre jours, quatre jours qui s’écouleront probablement au rythme hypnotique et routinier de la  vie de la ferme sauf qu’un photographe au National Geographic, Robert Kincaid, emprunte la route poussiéreuse pour venir demander son chemin. Sauf que, parfois, quatre jours peuvent devenir éternels.

    Sur la route de Madison aurait alors pu être un mélodrame mièvre et sirupeux, à l’image du best-seller de Robert James Waller dont il est l’adaptation. Sur la route de Madison est tout sauf cela. Chaque plan, chaque mot, chaque geste suggèrent l’évidence de l’amour qui éclôt entre les deux personnages. Ils n’auraient pourtant jamais dû se rencontrer : elle a une quarantaine d’années et, des années auparavant, elle a quitté sa ville italienne de Bari et son métier de professeur pour se marier dans l’Iowa et y élever ses enfants. Elle n’a plus bougé depuis. A 50 ans, solitaire, il n’a jamais suivi que ses désirs, parcourant le monde au gré de ses photographies. Leurs chemins respectifs ne prendront pourtant réellement sens que sur cette route de Madison. Ce jour de 1965, ils n’ont plus d’âge, plus de passé, juste cette évidence qui s’impose à eux et à nous, transparaissant dans chaque seconde du film, par le talent du réalisateur Clint Eastwood. Francesca passe une main dans ses cheveux, jette un regard nostalgico-mélancolique vers la fenêtre alors que son mari et ses enfants mangent, sans lui parler, sans la regarder: on entrevoit déjà ses envies d’ailleurs, d’autre chose. Elle semble attendre Robert Kincaid avant même de savoir qu’il existe et qu’il viendra.

    Chaque geste, simplement et magnifiquement filmé, est empreint de poésie, de langueur mélancolique, des prémisses de leur passion inéluctable : la touchante maladresse avec laquelle Francesca indique son chemin à Robert; la jambe de Francesca frôlée furtivement par le bras de Robert;  la main de Francesca caressant, d'un geste faussement machinal, le col de la chemise de Robert assis, de dos, tandis qu’elle répond au téléphone; la main de Robert qui, sans se retourner, se pose sur la sienne; Francesca qui observe Robert à la dérobée à travers les planches du pont de Roseman, puis quand il se rafraîchit à la fontaine de la cour; et c’est le glissement progressif vers le vertige irrésistible. Les esprits étriqués des habitants renforcent cette impression d’instants volés, sublimés.

    Francesca, pourtant, choisira de rester avec son mari très « correct » à côté duquel son existence sommeillait, plutôt que de partir avec cet homme libre qui « préfère le mystère » qui l’a réveillée, révélée, pour ne pas ternir, souiller, ces 4 jours par le remord d’avoir laissé une famille en proie aux ragots. Aussi parce que « les vieux rêves sont de beaux rêves, même s’ils ne se sont pas réalisés ». 

     Et puis, ils se revoient une dernière fois, un jour de pluie, à travers la vitre embuée de leurs voitures respectives. Francesca attend son mari dans la voiture. Robert est dans la sienne. Il suffirait d’une seconde… Elle hésite. Trop tard, son mari revient dans la voiture et avec lui : la routine, la réalité, la raison.  Puis, la voiture de Francesca et de son mari suit celle de Robert. Quelques secondes encore, le temps suspend son vol à nouveau, instant sublimement douloureux. Puis, la voiture s’éloigne. A jamais. Les souvenirs se cristalliseront au son du blues qu’ils écoutaient ensemble, qu’ils continueront à écouter chacun de leur côté, souvenir de ces instants immortels, d’ailleurs immortalisés des années plus tard par un album de photographies intitulé « Four days ». Avant que leurs cendres ne soient réunies à jamais du pont de Roseman.  Avant que les enfants de Francesca ne réalisent son immense sacrifice. Et  leur passivité. Et la médiocrité de leurs existences. Et leur envie d'exister, à leur tour. Son sacrifice en valait-il la peine ? Son amour aurait-il survécu au remord et au temps ?...

    Sans esbroufe, comme si les images s’étaient imposées à lui avec la même évidence que l’amour s’est imposé à ses protagonistes, Clint Eastwood filme simplement, majestueusement, la fugacité de cette évidence. Sans gros plan, sans insistance, avec simplicité, il nous fait croire aux« certitudes qui n’arrivent qu’une fois dans une vie » ou nous renforce dans notre croyance qu’elles peuvent exister, c'est selon. Peu importe quand. Un bel été de 1965 ou à un autre moment. Peu importe où. Dans un village perdu de l’Iowa ou ailleurs. Une sublime certitude. Une magnifique évidence. Celle d’une rencontre intemporelle et éphémère, fugace et éternelle. Un chef d’œuvre d’une poésie sensuelle et envoûtante. A voir absolument.

    Remarque: La pièce de James Waller dont est tiré le film a été reprise au théâtre Marigny, à Paris, en janvier 2007, et les deux rôles principaux ont été repris par Alain Delon et Mireille Darc. Cliquez ici pour lire ma critique de la pièce de théâtre.

    Ce article est également publié sur Agoravox.

    Sandra.M

  • Les Nuits Américaines du Festival du Cinéma Américain de Deauville 2008

    Le Public Systeme Cinema a eu la bonne idée, toujours en collaboration avec la Cinémathèque Française, de reconduire cette année Les Nuits Américaines initiées à l'occasion du Festival du Cinéma Américain de Deauville 2007, de quoi ravir les plus cinéphiles!

     Il s'agira à nouveau de programmer des classiques du septième art 10 jours sur 10, 24H sur 24! "Elle et lui", "Bienvenue à Gattaca", "Casablanca", "Le Mécano de la Général", "La soif du mal", ... je vous les recommande tous vivement!

    affiche nuits américaines 2008.jpg

    Cette édition 2008 exaltera le genre à travers 5 nouvelles thématiques : la science fiction, le film noir, la comédie, le mélodrame et la comédie musicale. La programmation s'enrichira par ailleurs d'une nouvelle séance, tous les jours, à 11H:

    LES INTROUVABLES DE DEAUVILLE

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    En association avec Wild Side, distributeur de ces films,  seront projetés en 35 mm les films suivants :

    1947 MACBETH d’Orson Welles

    1948 FORCE OF EVIL de Abraham Polonsky

    1948 LE SECRET DERRIERE LA PORTE (Secret Beyond the Door…) de Fritz Lang

    1948 LETTRE D’UNE INCONNUE (Letter From An Unknown Woman) de Max Ophuls

    1949 CAUGHT de Max Ophuls

    1963 SHOCK CORRIDOR de Samuel Fuller

    Un pass spécial exclusivement dédié aux Nuits Américaines sera édité au prix de 10 euros pour 10 jours.

    SCIENCE FICTION

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    1951 LA CHOSE D’UN AUTRE MONDE (The Thing From Another World)

    de Christian Niby et Howard Hawks

    1956 L’INVASION DES PROFANATEURS DE SEPULTURE

    (Invasion of the Body Snatchers) de Don Siegel

    1957 L’HOMME QUI RETRECIT (The Incredible Shrinking Man) de Jack Arnold

    1981 NEW YORK 1997 (Escape From New York) de John Carpenter

    1984 TERMINATOR (The Terminator) de James Cameron

    1997 BIENVENUE A GATTACA (Gattaca) d’Andrew Niccol

    FILMS NOIRS

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    1944 ASSURANCE SUR LA MORT (Double Indemnity) de Billy Wilder

    1949 POUR TOI J’AI TUE (Criss Cross) de Robert Siodmack

    1952 UN SI DOUX VISAGE de Otto Preminger

    1958 LA SOIF DU MAL (Touch of Evil) de Orson Welles

    1971 UN FRISSON DANS LA NUIT de Clint Eastwood

    1972 GUET-APENS (The Guetaway) de Sam Peckinpah

    COMEDIES

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    1927 LE MECCANO DE LA GENERAL (The General) de Buster Keaton-Voir ma critique plus haut-

    1943 ARSENIC ET VIEILLES DENTELLES (Arsenic and Old Lace) de Franck Capra

    1959 CERTAINS L’AIMENT CHAUD (Some Like It Hot) de Billy Wilder

    1970 MASH de Robert Altman

    1982 TOOTSIE de Sydney Pollack

    1998 MARY A TOUT PRIX (There’s Something About Mary) de Bobby et Peter Farelly

    MÉLODRAMES

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    1939 AUTANT EN EMPORTE LE VENT (Gone with the Wind) de Victor Fleming

    1940 LA VALSE DANS L’OMBRE (Waterloo Bridge) de Mervyn Leroy

    1943 CASABLANCA de Michael Curtiz

    1954 LE SECRET MAGNIFIQUE (Magnificent Obsession) de Douglas Sirk

    1957 ELLE ET LUI (An Affair To Remember) de Leo MacCarey

    1995 SUR LA ROUTE DE MADISON (The Bridges of Madison County) de Clint Eastwood- voir ma critique plus haut-

    COMÉDIES MUSICALES

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    1943 BANANA SPLIT (The Gang’s All Here) de Busby Berkeley

    1953 LES HOMMES PREFERENT LES BLONDES (Gentlemen Prefer Blondes) de Howard Hawks

    1953 TOUS EN SCENE (The Band Wagon) de Vincente Minnelli

    1955 BEAU FIXE SUR NEW YORK (It’s Always Fair Weather) de Stanley Donen

    1960 LE MILLIARDAIRE (Let’s Make Love) de George Cukor

    1979 QUE LE SPECTACLE COMMENCE (All That Jazz) de Bob Fosse