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cinéma - Page 37

  • "Sur la route de Madison" de Clint Eastwood

    La venue de Meryl Streep pour l'ouverture de ce 34ème Festival du Cinéma Américain, la projection de "L'échange" de Clint Eastwood en Première de ce même festival, la programmation de "Sur la route de Madison" à l'occasion des "Nuits Américaines": autant de prétextes pour moi pour vous livrer ma critique de ce film sublime...

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    medium_route_1_bis.2.jpgL’éphémère peut avoir des accents d’éternité, quatre jours, quelques heures peuvent changer, illuminer et sublimer une vie. Du moins, Francesca Johnson (Meryl Streep)  et Robert Kincaid (Clint Eastwood) le croient-il et le spectateur aussi, forcément, inévitablement, après ce voyage bouleversant sur cette route de Madison qui nous emmène bien plus loin que sur ce chemin poussiéreux de l’Iowa. Caroline et son frère Michael Johnson  reviennent dans la maison où ils ont grandi pour régler la succession de leur mère, Francesca. Mais quelle idée saugrenue a-t-elle donc eu de vouloir être incinérée et d’exiger de faire jeter ses cendres du pont de Roseman, au lieu d’être enterrée auprès de son défunt mari ? Pour qu’ils sachent enfin qui elle était réellement, pour qu’ils comprennent, elle leur a laissé une longue lettre qui les ramène de nombreuses années en arrière, un été de 1965… un matin d’été de 1965, de ces matins où la chaleur engourdit les pensées, et réveille parfois les regrets. Francesca est seule. Ses enfants et son mari sont partis pour un concours agricole, pour quatre jours, quatre jours qui s’écouleront probablement au rythme hypnotique et routinier de la  vie de la ferme sauf qu’un photographe au National Geographic, Robert Kincaid, emprunte la route poussiéreuse pour venir demander son chemin. Sauf que, parfois, quatre jours peuvent devenir éternels.

    Sur la route de Madison aurait alors pu être un mélodrame mièvre et sirupeux, à l’image du best-seller de Robert James Waller dont il est l’adaptation. Sur la route de Madison est tout sauf cela. Chaque plan, chaque mot, chaque geste suggèrent l’évidence de l’amour qui éclôt entre les deux personnages. Ils n’auraient pourtant jamais dû se rencontrer : elle a une quarantaine d’années et, des années auparavant, elle a quitté sa ville italienne de Bari et son métier de professeur pour se marier dans l’Iowa et y élever ses enfants. Elle n’a plus bougé depuis. A 50 ans, solitaire, il n’a jamais suivi que ses désirs, parcourant le monde au gré de ses photographies. Leurs chemins respectifs ne prendront pourtant réellement sens que sur cette route de Madison. Ce jour de 1965, ils n’ont plus d’âge, plus de passé, juste cette évidence qui s’impose à eux et à nous, transparaissant dans chaque seconde du film, par le talent du réalisateur Clint Eastwood. Francesca passe une main dans ses cheveux, jette un regard nostalgico-mélancolique vers la fenêtre alors que son mari et ses enfants mangent, sans lui parler, sans la regarder: on entrevoit déjà ses envies d’ailleurs, d’autre chose. Elle semble attendre Robert Kincaid avant même de savoir qu’il existe et qu’il viendra.

    Chaque geste, simplement et magnifiquement filmé, est empreint de poésie, de langueur mélancolique, des prémisses de leur passion inéluctable : la touchante maladresse avec laquelle Francesca indique son chemin à Robert; la jambe de Francesca frôlée furtivement par le bras de Robert;  la main de Francesca caressant, d'un geste faussement machinal, le col de la chemise de Robert assis, de dos, tandis qu’elle répond au téléphone; la main de Robert qui, sans se retourner, se pose sur la sienne; Francesca qui observe Robert à la dérobée à travers les planches du pont de Roseman, puis quand il se rafraîchit à la fontaine de la cour; et c’est le glissement progressif vers le vertige irrésistible. Les esprits étriqués des habitants renforcent cette impression d’instants volés, sublimés.

    Francesca, pourtant, choisira de rester avec son mari très « correct » à côté duquel son existence sommeillait, plutôt que de partir avec cet homme libre qui « préfère le mystère » qui l’a réveillée, révélée, pour ne pas ternir, souiller, ces 4 jours par le remord d’avoir laissé une famille en proie aux ragots. Aussi parce que « les vieux rêves sont de beaux rêves, même s’ils ne se sont pas réalisés ». 

     Et puis, ils se revoient une dernière fois, un jour de pluie, à travers la vitre embuée de leurs voitures respectives. Francesca attend son mari dans la voiture. Robert est dans la sienne. Il suffirait d’une seconde… Elle hésite. Trop tard, son mari revient dans la voiture et avec lui : la routine, la réalité, la raison.  Puis, la voiture de Francesca et de son mari suit celle de Robert. Quelques secondes encore, le temps suspend son vol à nouveau, instant sublimement douloureux. Puis, la voiture s’éloigne. A jamais. Les souvenirs se cristalliseront au son du blues qu’ils écoutaient ensemble, qu’ils continueront à écouter chacun de leur côté, souvenir de ces instants immortels, d’ailleurs immortalisés des années plus tard par un album de photographies intitulé « Four days ». Avant que leurs cendres ne soient réunies à jamais du pont de Roseman.  Avant que les enfants de Francesca ne réalisent son immense sacrifice. Et  leur passivité. Et la médiocrité de leurs existences. Et leur envie d'exister, à leur tour. Son sacrifice en valait-il la peine ? Son amour aurait-il survécu au remord et au temps ?...

    Sans esbroufe, comme si les images s’étaient imposées à lui avec la même évidence que l’amour s’est imposé à ses protagonistes, Clint Eastwood filme simplement, majestueusement, la fugacité de cette évidence. Sans gros plan, sans insistance, avec simplicité, il nous fait croire aux« certitudes qui n’arrivent qu’une fois dans une vie » ou nous renforce dans notre croyance qu’elles peuvent exister, c'est selon. Peu importe quand. Un bel été de 1965 ou à un autre moment. Peu importe où. Dans un village perdu de l’Iowa ou ailleurs. Une sublime certitude. Une magnifique évidence. Celle d’une rencontre intemporelle et éphémère, fugace et éternelle. Un chef d’œuvre d’une poésie sensuelle et envoûtante. A voir absolument.

    Remarque: La pièce de James Waller dont est tiré le film a été reprise au théâtre Marigny, à Paris, en janvier 2007, et les deux rôles principaux ont été repris par Alain Delon et Mireille Darc. Cliquez ici pour lire ma critique de la pièce de théâtre.

    Ce article est également publié sur Agoravox.

    Sandra.M

  • Les Nuits Américaines du Festival du Cinéma Américain de Deauville 2008

    Le Public Systeme Cinema a eu la bonne idée, toujours en collaboration avec la Cinémathèque Française, de reconduire cette année Les Nuits Américaines initiées à l'occasion du Festival du Cinéma Américain de Deauville 2007, de quoi ravir les plus cinéphiles!

     Il s'agira à nouveau de programmer des classiques du septième art 10 jours sur 10, 24H sur 24! "Elle et lui", "Bienvenue à Gattaca", "Casablanca", "Le Mécano de la Général", "La soif du mal", ... je vous les recommande tous vivement!

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    Cette édition 2008 exaltera le genre à travers 5 nouvelles thématiques : la science fiction, le film noir, la comédie, le mélodrame et la comédie musicale. La programmation s'enrichira par ailleurs d'une nouvelle séance, tous les jours, à 11H:

    LES INTROUVABLES DE DEAUVILLE

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    En association avec Wild Side, distributeur de ces films,  seront projetés en 35 mm les films suivants :

    1947 MACBETH d’Orson Welles

    1948 FORCE OF EVIL de Abraham Polonsky

    1948 LE SECRET DERRIERE LA PORTE (Secret Beyond the Door…) de Fritz Lang

    1948 LETTRE D’UNE INCONNUE (Letter From An Unknown Woman) de Max Ophuls

    1949 CAUGHT de Max Ophuls

    1963 SHOCK CORRIDOR de Samuel Fuller

    Un pass spécial exclusivement dédié aux Nuits Américaines sera édité au prix de 10 euros pour 10 jours.

    SCIENCE FICTION

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    1951 LA CHOSE D’UN AUTRE MONDE (The Thing From Another World)

    de Christian Niby et Howard Hawks

    1956 L’INVASION DES PROFANATEURS DE SEPULTURE

    (Invasion of the Body Snatchers) de Don Siegel

    1957 L’HOMME QUI RETRECIT (The Incredible Shrinking Man) de Jack Arnold

    1981 NEW YORK 1997 (Escape From New York) de John Carpenter

    1984 TERMINATOR (The Terminator) de James Cameron

    1997 BIENVENUE A GATTACA (Gattaca) d’Andrew Niccol

    FILMS NOIRS

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    1944 ASSURANCE SUR LA MORT (Double Indemnity) de Billy Wilder

    1949 POUR TOI J’AI TUE (Criss Cross) de Robert Siodmack

    1952 UN SI DOUX VISAGE de Otto Preminger

    1958 LA SOIF DU MAL (Touch of Evil) de Orson Welles

    1971 UN FRISSON DANS LA NUIT de Clint Eastwood

    1972 GUET-APENS (The Guetaway) de Sam Peckinpah

    COMEDIES

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    1927 LE MECCANO DE LA GENERAL (The General) de Buster Keaton-Voir ma critique plus haut-

    1943 ARSENIC ET VIEILLES DENTELLES (Arsenic and Old Lace) de Franck Capra

    1959 CERTAINS L’AIMENT CHAUD (Some Like It Hot) de Billy Wilder

    1970 MASH de Robert Altman

    1982 TOOTSIE de Sydney Pollack

    1998 MARY A TOUT PRIX (There’s Something About Mary) de Bobby et Peter Farelly

    MÉLODRAMES

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    1939 AUTANT EN EMPORTE LE VENT (Gone with the Wind) de Victor Fleming

    1940 LA VALSE DANS L’OMBRE (Waterloo Bridge) de Mervyn Leroy

    1943 CASABLANCA de Michael Curtiz

    1954 LE SECRET MAGNIFIQUE (Magnificent Obsession) de Douglas Sirk

    1957 ELLE ET LUI (An Affair To Remember) de Leo MacCarey

    1995 SUR LA ROUTE DE MADISON (The Bridges of Madison County) de Clint Eastwood- voir ma critique plus haut-

    COMÉDIES MUSICALES

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    1943 BANANA SPLIT (The Gang’s All Here) de Busby Berkeley

    1953 LES HOMMES PREFERENT LES BLONDES (Gentlemen Prefer Blondes) de Howard Hawks

    1953 TOUS EN SCENE (The Band Wagon) de Vincente Minnelli

    1955 BEAU FIXE SUR NEW YORK (It’s Always Fair Weather) de Stanley Donen

    1960 LE MILLIARDAIRE (Let’s Make Love) de George Cukor

    1979 QUE LE SPECTACLE COMMENCE (All That Jazz) de Bob Fosse

  • Les hommages du 34ème Festival du Cinéma Américain de Deauville

    Pour la 34ème édition de ce Festival du Cinéma Américain de Deauville, 4 hommages sont programmés:

    -Une intégrale du réalisateur, scénariste, producteur, comédien Spike Lee (La Cinémathèque française rendra également hommage à Spike Lee du 3 au 28 septembre 2008)

    -Un hommage à la comédienne Parker Posey

    -Un hommage au comédien, réalisateur, producteur, scénariste Ed Harris

    -Un hommage au réalisateur Mitchell Leisen (Une rétrospective Mitchell Leisen aura lieu à la Cinémathèque française du 27 août au 2 novembre 2008)

    Filmographie sélective de Spike Lee

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    Réalisateur

    1986 SHE’S GOTTA HAVE IT (Nola Darling n’en fait qu’à sa tête)*

    1988 SCHOOL DAZE *

    1989 DO THE RIGHT THING *

    1990 MO’ BETTER BLUES *

    1991 JUNGLE FEVER *

    1992 MALCOLM X *

    1994 CROOKLYN *

    1995 CLOCKERS *

    1996 GIRL 6

    GET ON THE BUS

    1997 4 LITTLE GIRLS (documentaire)

    1998 HE GOT GAME *

    1999 SUMMER OF SAM *

    2000 BAMBOOZLED (The Very Black Show) *

    THE ORIGINAL KINGS OF COMEDY (documentaire)

    2002 25TH HOUR (la 25ème heure)

    JIM BROWN: ALL AMERICAN (documentaire)

    2004 SHE HATE ME *

    2005 ALL THE INVISIBLE CHILDREN (Segment JESUS CHILDREN OF AMERICA)

    2006 INSIDE MAN (Inside Man, l’homme de l’intérieur)

    WHEN THE LEVEES BROKE : A REQUIEM IN FOUR ACTS (documentaire télévision)

    2007 MIRACLE AT ST. ANNA (Miracle à Santa Anna)

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    * également scénariste

    Filmographie sélective de Parker Posey

    Comédienne

    1993 CONEHEADS de Steve Barron

    DAZED AND CONFUSED (Génération Rebelle) de Richard Linklater

    1994 AMATEUR de Hal Hartley

    SLEEP WITH ME de Rory Kelly

    MIXED NUTS de Nora Ephron

    1995 PARTY GIRL de Daisy Von Scherler Mayer

    DRUNKS de Peter Cohn

    FLIRT de Hal Hartley

    KICKING AND SCREAMING de Noah Baumbach

    THE DOOM GENERATION (Doom Generation) de Greg Araki

    1996 THE DAYTRIPPERS (En route vers Manhattan) de Greg Mottola

    BASQUIAT de Julian Schnabel

    WAITING FOR GUFFMAN de Christopher Guest

    SUBURBIA de Richard Linklater

    1997 THE HOUSE OF YES de Mark Waters

    CLOCKWATCHERS de Jill Sprecher

    HENRY FOOL de Hal Hartley

    1998 WHAT RATS DON’T DO de Alastair Reid

    YOU’VE GOT MAIL (Vous avez un mess@ge) de Nora Ephron

    THE MISADVENTURES OF MARGARET (Les folies de Margaret) de Brian Skeet

    1999 THE VENICE PROJECT de Robert Dornhelm

    2000 SCREAM 3 de Wes Craven

    BEST IN SHOW (Bêtes de Scène) de Christopher Guest

    2001 JOSIE AND THE PUSSYCATS (Josie et les Pussycats) de Henry Elfont & Deborah Kaplan

    THE ANNIVERSARY PARTY de Alan Cumming & Jennifer Jason Leigh

    2001 PERSONAL VELOCITY : THREE PORTRAITS de Rebecca Miller

    THE SWEETEST THING (Allumeuses!) de Roger Krumble

    2002 THE EVENT de Thom Fitzgerald

    A MIGHTY WIND de Christopher Guest

    2004 LAWS OF ATTRACTION (Une affaire de Coeur) de Peter Howitt

    BLADE: TRINITY de David S. Goyer

    2005 ADAM & STEEVE de Craig Chester

    2006 THE OH IN OHIO de Billy Kent

    SUPERMAN RETURNS de Bryan Singer

    FOR YOUR CONSIDERATION de Christopher Guest

    FAY GRIM de Hal Hartley

    2007 BROKEN ENGLISH de Zoe Cassavetes

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    2008 THE EYE de David Moreau & Xavier Palud

    Filmographie sélective de Ed Harris

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    Comédien

    1978 COMA (Morts suspectes) de Michael Crichton

    1980 BORDERLINE (Chicanos, chasseur de têtes) de Jerrold Freedman

    1981 DREAM ON de Ed Harker

    KNIGHTRIDERS de George A.Romero

    1982 CREEPSHOW de George A.Romero

    1983 UNDER FIRE de Roger Spottiswoode

    THE RIGHT STUFF (L’étoffe des héros) de Philip Kaufman

    1984 SWING SHIFT de Jonathan Demme

    PLACES IN THE HEART (Les saisons du coeur) de Robert Benton

    A FLASH OF GREEN de Victor Nunez

    1985 ALAMO BAY de Louis Malle

    CODE NAME: EMERALD de Jonathan Sanger

    SWEET DREAMS de Karel Reisz

    1987 WALKER de Alex Cox

    1988 TO KILL A PRIEST (Le complot) de Agnieszka Holland

    1989 JACKNIFE de David Hugh Jones

    THE ABYSS (Abyss) de James Cameron

    1990 STATE OF GRACE (Les anges de la nuit) de Phil Joanou

    1991 PARIS TROUT (Rage) de Stephen Gyllenhaal

    1992 GLENGARRY GLEN ROSS (Glengarry) de James Foley

    1993 THE FIRM (La firme) de Sydney Pollack

    NEEDFUL THINGS (Le bazar de l’épouvante) de Fraser Clarke Heston

    1994 CHINA MOON (Lune rouge) de John Bailey

    MILK MONEY (La surprise) de Richard Benjamin

    1995 JUST CAUSE (Juste cause) de Arne Glimcher

    APOLLO 13 de Ron Howard

    1995 NIXON de Oliver Stone

    1996 EYE FOR AN EYE (Au-delà des lois) de John Schlesinger

    THE ROCK (Rock) de Michael Bay

    1997 ABSOLUTE POWER (Les pleins pouvoirs) de Clint Eastwood

    1998 THE TRUMAN SHOW de Peter Weir

    STEPMOM (Ma meilleure ennemie) de Chris Columbus

    1999 THE THIRD MIRACLE (Au coeur du miracle) de Agnieszka Holland

    2000 WAKING THE DEAD (Le fantôme de Sarah Williams) de Keith Gordon

    THE PRIME GIG (Coup monté) de Gregory Mosher

    POLLOCK de Ed Harris

    2001 ENEMY AT THE GATES (Stalingrad) de Jean-Jacques Annaud

    BUFFALO SOLDIERS de Gregor Jordan

    A BEAUTIFUL MIND (Un homme d’exception) de Ron Howard

    2002 THE HOURS de Stephen Daldry

    2003 MASKED AND ANONYMOUS de Larry Charles

    THE HUMAN STAIN (La couleur du mensonge) de Robert Benton

    RADIO de Michael Tollin

    2005 A HISTORY OF VIOLENCE de David Cronenberg

    WINTER PASSING de Adam Rapp

    2006 COPYING BEETHOVEN d’Agnieszka Holland

    2007 GONE BABY GONE de Ben Affleck

    CLEANER de Renny Harlin

    NATIONAL TREASURE: BOOK OF SECRETS (Benjamin Gates et le livre des secrets)

    de Jon Turteltaub

    2008 TOUCHING HOME de Logan Miller

    APPALOOSA de Ed Harris

    Filmographie sélective de Mitchell Leisen:

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    photo ci-dessus:  Dorothy Lamour, Martha Raye et Shirley Ross ("The big broadcast of 1938)

    Réalisateur

    1933 CRADLE SONG

    1934 DEATH TAKES A HOLIDAY (Trois jours chez les vivants)

    MURDER AT THE VANITIES

    BEHOLD MY WIFE

    1935 FOUR HOURS TO KILL!

    HANDS ACROSS THE TABLE (Jeux de mains)

    1936 THIRTEEN HOURS BY AIR

    THE BIG BROADCAST OF 1937

    1937 SWING HIGH, SWING LOW

    EASY LIVING

    1938 THE BIG BROADCAST OF 1938

    ARTISTS AND MODELS ABROAD

    1939 MIDNIGHT

    1940 REMEMBER THE NIGHT

    ARISE MY LOVE

    1941 I WANTED WINGS

    HOLD BACK THE DAWN (Par la porte d’or)

    1942 THE LADY IS WILLING (Madame veut un bébé)

    TAKE A LETTER, DARLING (Mon secrétaire travaille la nuit)

    1943 NO TIME FOR LOVE (La Dangereuse aventure)

    1944 LADY IN THE DARK (Les Nuits ensorcelées)

    FRENCHMAN’S CREEK (L’Aventure vient de la mer)

    PRACTICALLY YOURS

    1945 KITTY (La Duchesse des bas-fonds)

    MASQUERADE IN MEXICO

    1946 TO EACH HIS OWN (A chacun son destin)

    1947 SUDDENLY, IT’S SPRING

    GOLDEN EARRINGS (Les Anneaux d’or)

    1948 DREAM GIRL

    1949 BRIDE OF VENGEANCE

    SONG OF SURRENDER

    1950 NO MAN OF HER OWN (Chaînes du destin)

    CAPTAIN CAREY, U.S.A. (Le Dénonciateur)

    1951 THE MATING SEASON

    DARLING, HOW COULD YOU!

    1952 YOUNG MAN WITH IDEAS

    1953 TONIGHT WE SING (Les Plus grandes vedettes du monde)

    1955 BEDEVILLED

    1957 THE GIRL MOST LIKE

  • Les "Docs de l'Oncle Sam" du Festival du Cinéma Américain de Deauville 2008

    Depuis 2003 le Festival du Cinéma Américain de Deauville a également la bonne idée de projeter des documentaires dans la section "Les Docs de l'Oncle Sam". Ils seront cette année au nombre de 7.

    AMERICAN TEEN de Nanette Burstein

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    Sujet: La vie au quotidien de quatre adolescents d’une petite ville de l’Indiana durant leur dernière année de lycée. Le portrait d’une génération découvrant l’insécurité, la jalousie, le premier amour, le sexe, l’alcool, la pression parentale et la difficulté de prendre des décisions pour l’avenir.

    AMERICAN SWING de Matty Kaufman & Jon Hart

    Sujet: Une chronique sur l’avènement puis la chute du Plato’s Retreat, un club new-yorkais créé dans les années 70 où les ébats sexuels étaient monnaie courante.

    LAKE OF FIRE de Tony Kaye

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    Sujet: Quinze années d’investigation ont été nécessaires pour aborder un sujet douloureux qui divise l’Amérique : l’avortement. Les témoignages des deux camps, les « pour » et les « contre », prouvent qu’ils ont in fine la même crédibilité et la même légitimité.

    MADE IN AMERICA de Stacy Peralta

    Sujet: Le quartier de South Central à Los Angeles, qui fut un des premiers foyers de la culture afro-américaine, est devenu une zone de combat. Deux gangs rivaux tristement célèbres - les Crips et les Bloods – s’y affrontent depuis quatre décennies.

    STANDARD OPERATING PROCEDURE de Errol Morris

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    Sujet: En 2004, des photographies prises à la prison d’Abu Ghraib à Bagdad ont eu une influence sur la guerre en Irak et l’image que les Etats-Unis avaient d’eux-mêmes. Les images montraient comment des prisonniers irakiens étaient humiliés et torturés par des soldats américains. Ces clichés fournissent-ils la preuve de tortures systématiques de la part de l’armée américaine ou bien illustrent-ils le comportement anormal de quelques égarés dépourvus de moralité ?

    Sortie en salles en France: le 24 septembre 2008

    TYSON de James Toback

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    Sujet: De ses premiers souvenirs d’enfance jusqu’à ses dilemmes actuels, Mike Tyson est appréhendé en tant qu’individu - l’athlète légendaire et singulièrement controversé - mais aussi comme une figure emblématique des problèmes de race et de classe qui déchirent l’Amérique.

    WAR CHILD de Christian Karim Chrobog

    Sujet: Le parcours inimaginable de Emmanual Jal, un enfant soldat jeté dans la tourmente de la guerre civile soudanaise qui deviendra une star montante de la scène hip-hop en délivrant un message de paix pour son pays ravagé par la guerre et l’Afrique qu’il aime tant.

  • "Then she found me" de Helen Hunt en clôture du 34ème Festival du Cinéma Américain de Deauville

    C'est le film "Then she found me" de et avec Helen Hunt qui clôturera le 34ème Festival du Cinéma Américain de Deauville, le 14 septembre prochain, après la cérémonie du palmarès.

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    THEN SHE FOUND ME (Une histoire de famille) de Helen Hunt avec Helen Hunt, Colin Firth, Bette Midler, Matthew Broderick...-1H40-

    then she found me2.jpgPitch: Quand son mari, lui annonce qu’il la quitte, la vie d’April Epner s’effondre, et son rêve d’avoir un enfant avec. Pas encore remise de ce premier choc, April perd sa mère adoptive et voit peu de temps après débarquer une certaine Bernice Graves, une exubérante présentatrice de talk-show, qui lui annonce qu’elle est sa mère biologique. Alors que Bernice tente d’être la mère qu’elle n’a jamais eue, April tombe amoureuse de Frank, qui comme elle, est divorcé depuis peu.

    Sortie en France: le 1er octobre 2008

  • "Mamma mia!" de P.Lloyd avec Meryl Streep, Pierce Brosnan et Colin Firth en ouverture du 34ème Festival du Cinéma Américain de Deauville

    edito19.JPGCe sont deux habitués du Festival du Cinéma Américain de Deauville (Meryl Streep et Pierce Brosnan-photo ci-contre prise par www.inthemoodforcinema.com lors du Festival du Cinéma Américain de Deauville 2005) qui feront l'ouverture de cette 34ème édition, le 5 septembre prochain. 

    Mamma mia! est l'adaptation de la comédie musicale homonyme écrite par Catherine Johnson basée sur les chansons du groupe ABBA. La première de Mamma Mia! eut lieu à Londres le 6 avril 1999. En 2007, le nombre de personne ayant vu le spectacle dépassait les 30 millions et elle a été présentée dans 170 villes en huit langues. 

    Ce film est actuellement en tête du box office en Grèce où il a été tourné...

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    MAMMA MIA de Phyllida Lloyd avec Meryl Streep, Pierce Brosnan, Colin Firth - 1H50-

    Pitch: Donna, une mère célibataire, habite une île grecque au charme paradisiaque. Pour célébrer le mariage de sa fille Sophie, qu'elle a élevée seule, Donna a invité Rosie et Tanya, ses deux plus proches amies. Rosie et Tanya, formèrent jadis avec elle le trio Donna and the Dynamos. De son côté, Sophie a invité en secret les trois hommes qui partagèrent brièvement la vie de Donna vingt ans plus tôt. Parmi eux se trouve le père inconnu qu'elle espère bien voir à son bras le jour du mariage…

    Sortie en salles en France : le 10 septembre 2008

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    Bande annonce en Anglais sous-titré en Français, ci-dessous: