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HOMMAGES - Page 8

  • Harrison Ford: invité d'honneur du Festival du Cinéma Américain de Deauville 2009

    Après avoir fait l'ouverture du Festival en 2003 pour "Hollywood Homicide" de Ron Shelton et avoir eu un certain nombre de ses films projetés en avant-première au Festival, Harrison Ford revient cette année en tant qu'invité d'honneur.

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    FILMOGRAPHIE D'HARRISON FORD

    1965 DEAD HEAT ON A MERRY GO ROUND (Un truand) de Bernard Girard

    1967 A TIME FOR KILLING (La poursuite des tuniques bleues) de Phil Karlson

    LUV de Clive Donner

    1968 JOURNEY TO SHILOH (La brigade des cow-boys) de William Hale

    1970 GETTING STRAIGHT (Campus) de Richard Rush

    1973 AMERICAN GRAFFITI de George Lucas

    1974 THE CONVERSATION (Conversation secrete) de Francis Ford Coppola

    1977 STAR WARS (La guerre des etoiles) de George Lucas

    HEROES de Jeremy Paul Kagan

    1978 FORCE TEN FROM NAVARONE (L’ouragan vient de Navarone) de Guy Hamilton

    1979 APOCALYPSE NOW de Francis Ford Coppola

    HANOVER STREET (Guerre et passion) de Peter Hyams

    THE FRISCO KID (Un rabbin au Far-West) de Robert Aldrich

    1980 THE EMPIRE STRIKES BACK (L’empire contre-attaque) de Irvin Kershner

    1981 RAIDERS OF THE LOST ARK (Les aventuriers de l’arche perdue) de Steven Spielberg

    1982 BLADE RUNNER de Ridley Scott

    1983 RETURN OF THE JEDI (Le retour du Jedi) de Richard Marquand

    1984 INDIANA JONES AND THE TEMPLE OF DOOM

    (Indiana Jones et le temple maudit) de Steven Spielberg

    1985 WITNESS de Peter Weir

    1986 MOSQUITO COAST de Peter Weir

    1987 FRANTIC de Roman Polanski

    1988 WORKING GIRL de Mike Nichols

    1989 INDIANA JONES AND THE LAST CRUSADE

    (Indiana Jones et la derniere croisade) de Steven Spielberg

    1990 PRESUMED INNOCENT (Presume innocent) de Alan J. Pakula

    1991 REGARDING HENRY (A propos d’Henry) de Mike Nichols

    1992 PATRIOT GAMES (Jeux de guerre) de Phillip Noyce

    1993 THE FUGITIVE (Le fugitif) de Andrew Davis

    1994 CLEAR AND PRESENT DANGER (Danger immediat) de Philip Noyce

    JIMMY HOLLYWOOD de Barry Levinson

    1995 LES CENT ET UNE NUITS de Agnes Varda

    SABRINA de Sydney Pollack

    1997 THE DEVIL’S OWN (Ennemis rapproches) de Alan J. Pakula

    AIR FORCE ONE de Wolfgang Petersen

    1998 SIX DAYS, SEVEN NIGHTS (Six jours, sept nuits) de Ivan Reitman

    1999 RANDOM HEARTS (L’ombre d’un soupcon) de Sydney Pollack

    2000 WHAT LIES BENEATH (Apparences) de Robert Zemeckis

    2002 K-19: THE WIDOWMAKER (K19: le piege des profondeurs) de Kathryn Bigelow

    2003 HOLLYWOOD HOMICIDE de Ron Shelton

    2006 FIREWALL de Richard Loncraine

    2008 INDIANA JONES AND THE KINGDOM OF THE CRYSTAL SKULL

    (Indiana Jones et le royaume du crane de cristal) de Steven Spielberg

  • Les hommages du Festival du Cinéma Américain de Deauville 2009

    Les hommages constituent toujours un temps fort du Festival du Cinéma Américain de Deauville... même si le plus émouvant, le plus marquant restera pour moi celui rendu à Al Pacino il y a quelques années.

    Andygarcia.jpgCette année le Festival a choisi de rendre hommage  au réalisateur et producteur Robert Aldrich (en collaboration avec la Cinémathèque Française); aux réalisateurs, scénaristes et producteurs David Zucker, Jim Abrahams, Jerry Zucker; à la comédienne Robin Wright Penn, au comédien, réalisateur et producteur Andy Garcia.

    Cliquez sur "lire la suite" pour consulter les filmographies des personnalités auxquelles le Festival rendra hommage et pour voir les films que le Festival a choisi de projeter.

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  • Hommage à Lee Chang-dong

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    Après avoir rendu hommage à Amitabh Bachchan (en 2003), Takashi Miike (en 2005), Park Chanwook (en 2007), ou encore Jiang Wen et Im Kwon-taek (en 2008), le Festival du Film Asiatique de Deauville rendra hommage, pour cette 11e édition, au réalisateur et scénariste sud-coréen, LEE Chang-dong.

     

    BIOGRAPHIE

    Né le 1er avril 1954 à Daegu en Corée du Sud, Lee Chang-dong obtient un diplôme de littérature coréenne à l'université Kyungbuk de Daegu en 1980. La Corée du Sud subit à cette époque une dictature militaire et Lee Chang-dong prend part aux manifestations étudiantes contre le régime. Il se consacre parallèlement à l’écriture et à la mise en scène de pièces de théâtre et, après avoir  enseigné brièvement le coréen au lycée, écrit son premier roman, Chonri (1983), qui évoque les émeutes sanglantes de 1980 à Kwangju. Lee Chang-dong se place dans un registre polémique qu'il conservera dans toutes ses oeuvres futures et devient l'un des auteurs les plus reconnus dans son pays avec Burning Papers (1987) et Nokcheon (1992). Son entrée dans le milieu du cinéma se fait par l'entremise de Park Kwang-su, considéré comme le leader du Nouveau Cinéma coréen, qui lui propose l'écriture de deux scénarios : « To the Starry Island » (1993) et « A Single Park » (1995). Lee Chang-dong décide de passer derrière la caméra en 1997 avec « Green Fish », dont il est également le scénariste. Cette critique de la société sud-coréenne, qui raconte l'ascension d'unjeune homme dans l'univers du crime, est un succès et son film est présenté dans de nombreux festivals internationaux. Son deuxième long métrage, « Peppermint Candy » (1999), est présenté à la Quinzaine des Réalisateurs. Le film met une nouvelle fois en exergue les séquelles de la dictature militaire (le massacre de Kwangju, la torture dans les commissariats, la crise économique de 1997…). Son troisième film, « Oasis », l'histoire d’amour atypique entre un jeune homme attardé souffredouleur et une handicapée physique, le consacre définitivement avec près d'un million et demi d'entrées en Corée du Sud et trois prix obtenus lors du festival de Venise en 2002, dont le Prix de la mise en scène. Début 2003, Lee Chang-dong est nommé ministre de la Culture de la Corée du Sud au gouvernement du président Roh Moo-hyun et doit faire face à l'imposition de quotas sur les productions américaines, permettant ainsi un développement des productions locales. Il quitte son poste l’année suivante, éreinté par cette expérience dans un monde qui lui est étranger. En octobre 2006 Lee Chang-dong est fait Chevalier de la Légion d'honneur pour « sa contribution au maintien des quotas afin de promouvoir la diversité culturelle en tant que ministre de la Culture ». En 2007, il présente son dernier film, « Secret Sunshine », en compétition officielle au Festival de Cannes. Jeon Do-yeon, la comédienne principale de ce mélodrame, obtient le prix d’interprétation féminine.

    FILMOGRAPHIE

    Réalisateur et scénariste

    1997 CHOROK MULKOGI (Green Fish)

    1999 BAKHA SATANG (Peppermint Candy)

    2002 OASIS

    2007 MILYANG (Secret Sunshine)

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  • Hommage à Spike Lee (suite): extrait vidéo

    Ci-dessous un extrait de l'hommage à Spike Lee (voir critique du film et photos dans l'article en dessous de celui-ci):

  • Hommage à Spike Lee et présentation en Première de « Miracle à Santa Anna »

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    Les hommages constituent toujours un temps fort de ce Festival du Cinéma Américain. L’hommage à Spike Lee, riche en émotions, pour le cinéaste et le public du CID, n’a pas dérogé à la règle. A travers lui, c’est aussi à un cinéma engagé que le Festival rendait hommage et qui sait, si ce n’est pas aussi là le témoignage  du soutien implicite de Deauville à l’un des candidats à l’élection américaine, décidément très présente dans ce festival, Spike Lee arborant constamment un tshirt ou une casquette Obama ou précisant lors de la conférence de presse « On va s’occuper de ça le 4 novembre », évoquant la cause de la communauté noire américaine, lequel Spike Lee a d’ailleurs aussi profité de son passage à Deauville pour se rendre sur les tombes du cimetière américain d’Omaha Beach.

     

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     Mais revenons au cinéma, et au film que Spike Lee présentait en Première,  « Miracle à Santa Anna », à l’origine un roman de James McBride (également auteur du scénario)  qui se déroule en Italie durant la Seconde Guerre Mondiale. Quatre soldats afro-américains s’y retrouvent derrière les lignes ennemies lorsque l’un d’eux risque sa vie pour sauver un jeune garçon italien.

     Ce film de 2H40, très riche, est avant tout un hommage aux G.I’s afro-américains de la Seconde Guerre Mondiale, 1, 1 million de soldats auxquels aucun film n’avait rendu hommage jusqu’alors. Evidemment on établit tout de suite la similitude avec « Indigènes » dans lequel Rachid Bouchareb rendait hommage aux soldats d’Afrique du Nord venus libérer la France, avec lequel il a notamment  en commun son humanité et cette solidarité qu’il met en exergue.

     Malgré (et peut-être aussi à cause de) un dénouement particulièrement mélodramatique et prévisible, Spike Lee réussit son récit « mystique et lyrique de compassion », comme il aime le définir. Au milieu des batailles sanglantes, d’un massacre inhumain, celui de Santa Anna, une Eglise à côté de laquelle des civils ont été massacrés par les Allemands, Spike Lee nous emporte dans un tourbillon aussi dévastateur que salvateur : une histoire d’amitié, d’amour, d’aventure, de lâchetés, de courage, de trahisons, d’héroïsme, et évidemment comme souvent chez Spike Lee, le plus convaincant des plaidoyers pour la tolérance et contre le racisme.   Loin des préjugés raciaux des Etats-Unis, ces 4 soldats se sentent en effet enfin eux-mêmes.

      Au-delà de l’horreur ce qui transparait c’est la profonde humanité, solidarité entre des personnes qui auraient pu se haïr : des personnes âgées et des enfants, des Américains, des Italiens et des Allemands. Dans le film de Spike Lee, il n’y a pas les bons d’un côté et les méchants de l’autre : juste des hommes parfois impliqués dans un conflit qui les dépasse ou les broie, qu’ils soient Allemands, Américains, Italiens, adultes ou enfants, Noirs ou Blancs.

     L’histoire, habilement construite débute par le meurtre d’un homme dans un bureau de poste New Yorkais, par la découverte d’une statue italienne que détenait le meurtrier, puis par un flash back expliquant comment cet homme en est arrivé là et détenait cette statue. Entretemps, en Italie, à l’époque contemporaine, nous découvrons un homme bouleversé par cette nouvelle dont nous devinons que cette histoire n’est pas étrangère à la sienne.

     Si la construction peut paraître artificielle, elle fonctionne néanmoins et puis surtout ce n’est pas là que réside l’intérêt et la richesse de ce film : c’est dans la caractérisation de ses 4 soldats, aussi différents que complémentaires (le doux « géant en chocolat » Sam Train, illettré et superstitieux qui va sauver le petit garçon avec lequel il apprendra à communiquer, le sergent-chef Aubrey Stamps, cultivé et déçu par le système américain,  le sergent Bishop Cummings, l’opposé de Stamps, arnaqueur, tchatcheur et séducteur, et l’opérateur radio Hector Negron, le meurtrier de New York) mais aussi dans la profonde humanité de ses personnages.

    Une histoire poignante dépourvue de manichéisme. Un vibrant hommage à ces soldats qui ont combattu au nom d’un pays qui les ignorait ou les méprisait pourtant. Un film lyrique dans le fond comme dans la forme.

      De l’horreur surgit un miracle : celui de la solidarité, de l’humanité, celui aussi où photographie, sons, interprétation, scénario, contribuent à un film d’une grande intensité, d’une grande conviction, à nous faire croire aux miracles , que l’on peut survivre à de tels drames, que le racisme devienne un terme désuet, inusité mais malheureusement à entendre certaines réflexions, ne seraient-ce que de spectateurs deauvillais, il reste encore beaucoup à accomplir et Spike Lee n’est pas au bout de ses peines et de son combat. Espérons que le résultat de l’élection américaine, le 4 novembre, contribuera également à le faire avancer…

     Le contraste est évidemment saisissant avec la soirée qui succède au film, le Dîner des Deauvillais, sous les lambris du Salon des Ambassadeurs du Casino de Deauville, en présence du jury, d’un Edouard Baer plus joyeusement décalé que jamais, mais aussi de Spike Lee.  Le Maire fait le tour des tables avec un sourire contrit et contraint posant à chaque table la même question et n’écoutant la réponse à aucune. Mon regard un peu désarçonné par ces contrastes, ces émotions contradictoires où cinéma et réalité se font un écho parfois ironique, ce dont Deauville n’est jamais avare, se pose sur le nom de ma table, celui d’un cinéaste auquel la cérémonie d’ouverture était dédié, celui d’un de mes cinéastes favoris et si certains croient aux miracles, j’avais soudain un souhait féroce de croire aux signes du destin. Et tandis que les voix se perdaient dans le brouhaha, dans la musique agréablement assourdissante, je souriais à l’immortel Sidney Pollack, à la magie du cinéma et des hasards et coïncidences de l’existence…

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     Sortie en France : le 22 octobre 2008. Je vous le recommande. Je vous en reparlerai à cette occasion sur http://www.inthemoodforcinema.com .

     A suivre sur « In the mood for Deauville » : mon bilan de la compétition (j’aurai vu 9 films sur 10), la critique et le résumé de la conférence de presse de Maria Bello, William Hurt et Arthur Cohn pour « The Yellow Handkerchief » et  « Dan in real life » de Peter Hedges avec et en présence de Juliette Binoche…

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     Ci-dessus, ma pause désormais quotidienne au cosy lounge Orange situé devant l’hôtel Royal, rendez-vous incontournable des professionnels de cette 34ème édition,  comment ferions-nous sans…

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  • Les hommages du 34ème Festival du Cinéma Américain de Deauville

    Pour la 34ème édition de ce Festival du Cinéma Américain de Deauville, 4 hommages sont programmés:

    -Une intégrale du réalisateur, scénariste, producteur, comédien Spike Lee (La Cinémathèque française rendra également hommage à Spike Lee du 3 au 28 septembre 2008)

    -Un hommage à la comédienne Parker Posey

    -Un hommage au comédien, réalisateur, producteur, scénariste Ed Harris

    -Un hommage au réalisateur Mitchell Leisen (Une rétrospective Mitchell Leisen aura lieu à la Cinémathèque française du 27 août au 2 novembre 2008)

    Filmographie sélective de Spike Lee

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    Réalisateur

    1986 SHE’S GOTTA HAVE IT (Nola Darling n’en fait qu’à sa tête)*

    1988 SCHOOL DAZE *

    1989 DO THE RIGHT THING *

    1990 MO’ BETTER BLUES *

    1991 JUNGLE FEVER *

    1992 MALCOLM X *

    1994 CROOKLYN *

    1995 CLOCKERS *

    1996 GIRL 6

    GET ON THE BUS

    1997 4 LITTLE GIRLS (documentaire)

    1998 HE GOT GAME *

    1999 SUMMER OF SAM *

    2000 BAMBOOZLED (The Very Black Show) *

    THE ORIGINAL KINGS OF COMEDY (documentaire)

    2002 25TH HOUR (la 25ème heure)

    JIM BROWN: ALL AMERICAN (documentaire)

    2004 SHE HATE ME *

    2005 ALL THE INVISIBLE CHILDREN (Segment JESUS CHILDREN OF AMERICA)

    2006 INSIDE MAN (Inside Man, l’homme de l’intérieur)

    WHEN THE LEVEES BROKE : A REQUIEM IN FOUR ACTS (documentaire télévision)

    2007 MIRACLE AT ST. ANNA (Miracle à Santa Anna)

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    * également scénariste

    Filmographie sélective de Parker Posey

    Comédienne

    1993 CONEHEADS de Steve Barron

    DAZED AND CONFUSED (Génération Rebelle) de Richard Linklater

    1994 AMATEUR de Hal Hartley

    SLEEP WITH ME de Rory Kelly

    MIXED NUTS de Nora Ephron

    1995 PARTY GIRL de Daisy Von Scherler Mayer

    DRUNKS de Peter Cohn

    FLIRT de Hal Hartley

    KICKING AND SCREAMING de Noah Baumbach

    THE DOOM GENERATION (Doom Generation) de Greg Araki

    1996 THE DAYTRIPPERS (En route vers Manhattan) de Greg Mottola

    BASQUIAT de Julian Schnabel

    WAITING FOR GUFFMAN de Christopher Guest

    SUBURBIA de Richard Linklater

    1997 THE HOUSE OF YES de Mark Waters

    CLOCKWATCHERS de Jill Sprecher

    HENRY FOOL de Hal Hartley

    1998 WHAT RATS DON’T DO de Alastair Reid

    YOU’VE GOT MAIL (Vous avez un mess@ge) de Nora Ephron

    THE MISADVENTURES OF MARGARET (Les folies de Margaret) de Brian Skeet

    1999 THE VENICE PROJECT de Robert Dornhelm

    2000 SCREAM 3 de Wes Craven

    BEST IN SHOW (Bêtes de Scène) de Christopher Guest

    2001 JOSIE AND THE PUSSYCATS (Josie et les Pussycats) de Henry Elfont & Deborah Kaplan

    THE ANNIVERSARY PARTY de Alan Cumming & Jennifer Jason Leigh

    2001 PERSONAL VELOCITY : THREE PORTRAITS de Rebecca Miller

    THE SWEETEST THING (Allumeuses!) de Roger Krumble

    2002 THE EVENT de Thom Fitzgerald

    A MIGHTY WIND de Christopher Guest

    2004 LAWS OF ATTRACTION (Une affaire de Coeur) de Peter Howitt

    BLADE: TRINITY de David S. Goyer

    2005 ADAM & STEEVE de Craig Chester

    2006 THE OH IN OHIO de Billy Kent

    SUPERMAN RETURNS de Bryan Singer

    FOR YOUR CONSIDERATION de Christopher Guest

    FAY GRIM de Hal Hartley

    2007 BROKEN ENGLISH de Zoe Cassavetes

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    2008 THE EYE de David Moreau & Xavier Palud

    Filmographie sélective de Ed Harris

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    Comédien

    1978 COMA (Morts suspectes) de Michael Crichton

    1980 BORDERLINE (Chicanos, chasseur de têtes) de Jerrold Freedman

    1981 DREAM ON de Ed Harker

    KNIGHTRIDERS de George A.Romero

    1982 CREEPSHOW de George A.Romero

    1983 UNDER FIRE de Roger Spottiswoode

    THE RIGHT STUFF (L’étoffe des héros) de Philip Kaufman

    1984 SWING SHIFT de Jonathan Demme

    PLACES IN THE HEART (Les saisons du coeur) de Robert Benton

    A FLASH OF GREEN de Victor Nunez

    1985 ALAMO BAY de Louis Malle

    CODE NAME: EMERALD de Jonathan Sanger

    SWEET DREAMS de Karel Reisz

    1987 WALKER de Alex Cox

    1988 TO KILL A PRIEST (Le complot) de Agnieszka Holland

    1989 JACKNIFE de David Hugh Jones

    THE ABYSS (Abyss) de James Cameron

    1990 STATE OF GRACE (Les anges de la nuit) de Phil Joanou

    1991 PARIS TROUT (Rage) de Stephen Gyllenhaal

    1992 GLENGARRY GLEN ROSS (Glengarry) de James Foley

    1993 THE FIRM (La firme) de Sydney Pollack

    NEEDFUL THINGS (Le bazar de l’épouvante) de Fraser Clarke Heston

    1994 CHINA MOON (Lune rouge) de John Bailey

    MILK MONEY (La surprise) de Richard Benjamin

    1995 JUST CAUSE (Juste cause) de Arne Glimcher

    APOLLO 13 de Ron Howard

    1995 NIXON de Oliver Stone

    1996 EYE FOR AN EYE (Au-delà des lois) de John Schlesinger

    THE ROCK (Rock) de Michael Bay

    1997 ABSOLUTE POWER (Les pleins pouvoirs) de Clint Eastwood

    1998 THE TRUMAN SHOW de Peter Weir

    STEPMOM (Ma meilleure ennemie) de Chris Columbus

    1999 THE THIRD MIRACLE (Au coeur du miracle) de Agnieszka Holland

    2000 WAKING THE DEAD (Le fantôme de Sarah Williams) de Keith Gordon

    THE PRIME GIG (Coup monté) de Gregory Mosher

    POLLOCK de Ed Harris

    2001 ENEMY AT THE GATES (Stalingrad) de Jean-Jacques Annaud

    BUFFALO SOLDIERS de Gregor Jordan

    A BEAUTIFUL MIND (Un homme d’exception) de Ron Howard

    2002 THE HOURS de Stephen Daldry

    2003 MASKED AND ANONYMOUS de Larry Charles

    THE HUMAN STAIN (La couleur du mensonge) de Robert Benton

    RADIO de Michael Tollin

    2005 A HISTORY OF VIOLENCE de David Cronenberg

    WINTER PASSING de Adam Rapp

    2006 COPYING BEETHOVEN d’Agnieszka Holland

    2007 GONE BABY GONE de Ben Affleck

    CLEANER de Renny Harlin

    NATIONAL TREASURE: BOOK OF SECRETS (Benjamin Gates et le livre des secrets)

    de Jon Turteltaub

    2008 TOUCHING HOME de Logan Miller

    APPALOOSA de Ed Harris

    Filmographie sélective de Mitchell Leisen:

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    photo ci-dessus:  Dorothy Lamour, Martha Raye et Shirley Ross ("The big broadcast of 1938)

    Réalisateur

    1933 CRADLE SONG

    1934 DEATH TAKES A HOLIDAY (Trois jours chez les vivants)

    MURDER AT THE VANITIES

    BEHOLD MY WIFE

    1935 FOUR HOURS TO KILL!

    HANDS ACROSS THE TABLE (Jeux de mains)

    1936 THIRTEEN HOURS BY AIR

    THE BIG BROADCAST OF 1937

    1937 SWING HIGH, SWING LOW

    EASY LIVING

    1938 THE BIG BROADCAST OF 1938

    ARTISTS AND MODELS ABROAD

    1939 MIDNIGHT

    1940 REMEMBER THE NIGHT

    ARISE MY LOVE

    1941 I WANTED WINGS

    HOLD BACK THE DAWN (Par la porte d’or)

    1942 THE LADY IS WILLING (Madame veut un bébé)

    TAKE A LETTER, DARLING (Mon secrétaire travaille la nuit)

    1943 NO TIME FOR LOVE (La Dangereuse aventure)

    1944 LADY IN THE DARK (Les Nuits ensorcelées)

    FRENCHMAN’S CREEK (L’Aventure vient de la mer)

    PRACTICALLY YOURS

    1945 KITTY (La Duchesse des bas-fonds)

    MASQUERADE IN MEXICO

    1946 TO EACH HIS OWN (A chacun son destin)

    1947 SUDDENLY, IT’S SPRING

    GOLDEN EARRINGS (Les Anneaux d’or)

    1948 DREAM GIRL

    1949 BRIDE OF VENGEANCE

    SONG OF SURRENDER

    1950 NO MAN OF HER OWN (Chaînes du destin)

    CAPTAIN CAREY, U.S.A. (Le Dénonciateur)

    1951 THE MATING SEASON

    DARLING, HOW COULD YOU!

    1952 YOUNG MAN WITH IDEAS

    1953 TONIGHT WE SING (Les Plus grandes vedettes du monde)

    1955 BEDEVILLED

    1957 THE GIRL MOST LIKE