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IN THE MOOD FOR NEWS (infos, photos, vidéos...) - Page 17

  • "Detachment" de Tony Kaye: retrouvez mes vidéos inédites de Tony Kaye à Deauville

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    En compétition du dernier Festival du Cinéma Américain de Deauville figurait "Detachment" de Tony Kaye, un de mes coups de coeur du festival (dont la compétition était d'ailleurs d'un niveau remarquable) qui a reçu le prix de la révèlation et le prix de la critique. Son réalisateur a suscité les plus beaux moments d'émotion du festival, en présentant d'abord le film en chantant puis en remerciant le jury encore en chantant lors du palmarès avec, notamment une chanson bouleversante sur le 11 septembre (dernière vidéo, ci-dessous). Je vous propose de retrouver mes vidéos de ces beaux moments, ci-dessous.

    Dans ce film Adrien Brody incarne Henry Barthes, un professeur remplaçant, remplaçant afin de ne pas s’investir avec ses élèves tout comme il s’évertue à ne pas s’investir avec les femmes. Il se rêve en homme désincarné dans une salle vide ; lui qui incarnera pourtant le visage de l’espoir.

    Avec une poésie sombre, Tony Kaye, dans le fond comme dans la forme, rend hommage à l’art, ici salvateur, et à ces êtres qui ne se comprennent pas mais finalement si proches dans leurs fêlures, leur solitude, leur besoin d’écoute. Adrien Brody lui ne fuit pas son rôle (qui parle justement de fuite) mais est au contraire d’une présence époustouflante, assumant les contradictions de son personnage, bouleversant. Je vous reparlerai ultérieurement plus précisément de ce beau film à découvrir en salles le 1er février 2012.

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  • Projection de "Charlie et la chocolaterie" de Tim Burton, ce 30 décembre, à Deauville

    Vous pourrez assister à une projection de "Charlie et la chocolaterie" de Tim Burton, ce vendredi 30 décembre, à 10H30, au Casino du cinéma Barrière. La projection est gratuite sur inscription, ici: http://www.deauville.fr/FR/agenda/2169/projection-charlie-et-la-chocolaterie-/?dateId=2038 .

    Comédie fantastique familiale. Réalisé par Tim Burton (2005). Avec Johnny Depp, Freddie Highmore, Anna Sophia Robb.

    Charlie est un enfant issu d'une famille pauvre. Travaillant pour subvenir aux besoins des siens, il doit économiser chaque penny, et ne peut s'offrir les friandises dont raffolent les enfants de son âge. Pour obtenir son comptant de sucreries, il participe à un concours organisé par l'inquiétant Willy Wonka, le propriétaire de la fabrique de chocolat de la ville. Celui qui découvrira l'un des cinq tickets d'or que Wonka a caché dans les barres de chocolat de sa fabrication gagnera une vie de sucreries.

  • Dates du Festival du Cinéma Américain de Deauville 2012 : du 31 août au 9 septembre 2012

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    Vous pouvez d'ores et déjà noter la date dans vos agendas: la 38ème édition du Festival du Cinéma Américain de Deauville aura lieu du 31 août au 9 septembre, un festival auquel je serai pour la 19ème année consécutive et que vous pourrez bien entendu suivre en direct sur mes différents blogs, ici bien entendu mais aussi sur In the mood for cinema, mon blog quotidien principal.  Cette année, le festival a attiré plus de 54000 personnes en salles avec  notamment une compétition de films indépendants de qualité...

    Suivez également inthemoodfordeauville sur twitter (http://twitter.com/moodfdeauville ) et sur Facebook (http://facebook.com/inthemoodfordeauville ) pour tout savoir sur Deauville et ses festivals, tout au long de l'année...avec des surprises prochainement en attendant les prochains festivals de cinéma deauvillais.

    Cliquez ici pour lire mon bilan du Festival du Cinéma Américain de Deauville 2011

  • Critique de "The Artist" de Michel Hazanavicius (film de la soirée du palmarès de Deauville 2011, actuellement à l'affiche)

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    Photo ci-dessus : crédits inthemoodforcinema.com . Conférence de presse des lauréats du Festival de Cannes 2011.

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    Photo ci-dessus : crédits inthemoodforcinema.com . Conférence de presse des lauréats du Festival de Cannes 2011.

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    Photo ci-dessus : crédits inthemoodforcinema.com . Conférence de presse du Festival de Cannes 2011 du film "The Artist".

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    Photo ci-dessus : crédits inthemoodforcinema.com . Conférence de presse du Festival de Cannes 2011 du film "The Artist".

    C’était un dimanche matin de mai 2011, le début du Festival de Cannes encore, en projection presse. Pas encore vraiment l’effervescence pour le film qui obtint la palme d’or mais un joli bruissement d’impatience parmi les regards déjà las, ou obstinément sceptiques. 1H40 plus tard, la salle résonnait d’applaudissements, pendant dix minutes, fait rare en projection presse. Le soir même, je suis retournée le voir en projection officielle. L’émotion fut la même, redoublée par la présence de l’équipe du film, terriblement émue elle aussi par les réactions enthousiastes du public, par les rires tendres, par cette cavalcade d’applaudissements qui a commencé lors de la dernière scène et ne s’est plus arrêtée pour continuer pendant un temps qui m’a paru délicieusement long. Un beau, rare et grand moment du Festival de Cannes.

    Le pari était pourtant loin d’être gagné d’avance. Un film muet (ou quasiment puisqu’il y a quelques bruitages). En noir et blanc. Tourné à Hollywood. En 35 jours. Par un réalisateur qui jusque là avait excellé dans son genre, celui de la brillante reconstitution parodique, mais très éloigné de l’univers dans lequel ce film nous plonge. Il fallait beaucoup d’audace, de détermination, de patience, de passion, de confiance, et un peu de chance sans doute aussi, sans oublier le courage -et l’intuition- d’un producteur (Thomas Langmann) pour arriver à bout d’un tel projet. Le pari était déjà gagné quand le Festival de Cannes l’a sélectionné d’abord hors compétition pour le faire passer ensuite en compétition, là encore fait exceptionnel.

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    Le film débute à Hollywood, en 1927, date fatidique pour le cinéma puisque c’est celle de l’arrivée du parlant. George Valentin (Jean Dujardin) est une vedette du cinéma muet qui connait un succès retentissant…mais l’arrivée des films parlants va le faire passer de la lumière à l’ombre et le plonger dans l’oubli. Pendant ce temps, une jeune figurante, Peppy Miller (Bérénice Béjo) qu’il aura au départ involontairement  placée dans la lumière, va voir sa carrière débuter de manière éblouissante. Le film raconte l’histoire de leurs destins croisés.

    Qui aime sincèrement le cinéma ne peut pas ne pas aimer ce film qui y est un hommage permanent et éclatant. Hommage à ceux qui ont jalonné et construit son histoire, d’abord, évidemment. De Murnau à Welles, en passant par Borzage, Hazanavicius cite brillamment ceux qui l’ont ostensiblement inspiré. Hommage au burlesque aussi, avec son mélange de tendresse et de gravité, et évidemment, même s’il s’en défend, à Chaplin qui, lui aussi,  lui surtout, dans « Les feux de la rampe », avait réalisé un hymne à l'art qui porte ou détruit, élève ou ravage, lorsque le public, si versatile, devient amnésique, lorsque le talent se tarit, lorsqu’il faut passer de la lumière éblouissante à l’ombre dévastatrice. Le personnage de Jean Dujardin est aussi un hommage au cinéma d’hier : un mélange de Douglas Fairbanks, Clark Gable, Rudolph Valentino, et du personnage de Charles Foster Kane (magnifiques citations de « Citizen Kane ») et Bérénice Béjo, avec le personnage de Peppy Miller est, quant à elle, un mélange de Louise Brooks, Marlène Dietrich, Joan Crawford…et nombreuses autres inoubliables stars du muet.

    Le cinéma a souvent parlé de lui-même… ce qui a d’ailleurs souvent produit des chefs d’œuvre. Il y a évidemment « La comtesse aux pieds nus » de Mankiewicz, « La Nuit américaine de Truffaut », « Sunset Boulevard » de Billy Wilder, enfin « Une étoile est née » de George Cukor et encore « Chantons sous la pluie » de Stanley Donen et Gene Kelly auxquels « The Artist », de par son sujet, fait évidemment penser. Désormais, parmi ces classiques, il faudra citer « The Artist » de Michel Hazanavicius. Ses précèdents films étaient d'ailleurs déjà des hommages au cinéma. On se souvient ainsi des références à "Sueurs froides" ou "La Mort aux trousses" d'Hitchcock dans "OSS 117 : Rio ne répond plus".

    Hazanavicius joue ainsi constamment et doublement la mise en abyme : un film muet en noir et blanc qui nous parle du cinéma muet en noir et blanc mais aussi qui est un écho à une autre révolution que connaît actuellement le cinéma, celle du Numérique.

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    Le mot jubilatoire semble avoir été inventé pour ce film, constamment réjouissant, vous faisant passer du rire aux larmes, ou parfois vous faisant rire et pleurer en même temps. Le scénario et la réalisation y sont pour beaucoup mais aussi la photographie (formidable travail du chef opérateur Guillaume Schiffman qui, par des nuances de gris, traduit les états d’âme de Georges Valentin), la musique envoûtante (signée Ludovic Bource, qui porte l’émotion à son paroxysme, avec quelques emprunts assumés là aussi, notamment à Bernard Herrmann) et évidemment les acteurs au premier rang desquels Jean Dujardin qui méritait amplement son prix d’interprétation (même si Sean Penn l’aurait également mérité pour « This must be the place »).

    Flamboyant puis sombre et poignant, parfois les trois en même temps, il fait passer dans son regard (et par conséquent dans celui du spectateur), une foule d’émotions, de la fierté aux regrets,  de l’orgueil à la tendresse, de la gaieté à la cruelle amertume de la déchéance.  Il faut sans doute beaucoup de sensibilité, de recul, de lucidité et évidemment de travail et de talent pour parvenir à autant de nuances dans un même personnage (sans compter qu’il incarne aussi George Valentin à l’écran, un George Valentin volubile, excessif, démontrant le pathétique et non moins émouvant enthousiasme d’un monde qui se meurt). Il avait déjà prouvé dans « Un balcon sur la mer » de Nicole Garcia qu’il pouvait nous faire pleurer.  Il confirme ici l’impressionnant éclectisme de sa palette de jeu et d'expressions de son visage.

     Une des plus belles et significatives scènes est sans doute celle où il croise Peppy Miller dans un escalier, le jour  du Krach de 1929. Elle monte, lui descend. A l’image de leurs carrières. Lui masque son désarroi. Elle, sa conscience de celui-ci, sans pour autant dissimuler son enthousiasme lié à sa propre réussite. Dujardin y est d’une fierté, d’une mélancolie, et d’une gaieté feinte bouleversantes, comme à bien d’autres moments du film. Et je ne prends guère de risques en lui prédisant un Oscar pour son interprétation, ou en tout cas un Oscar du meilleur film étranger pour Hazanavicius.  Bérénice Béjo ne démérite pas non plus dans ce nouveau rôle de « meilleur espoir féminin » à la personnalité étincelante et généreuse, malgré un bref sursaut de vanité de son personnage. Il ne faudrait pas non plus oublier les comédiens anglo-saxons : John Goodman, Malcolm McDowell et John Cromwell (formidablement touchant dans le rôle du fidèle Clifton).

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    Il y aura bien quelques cyniques pour dire que ce mélodrame  est plein de bons sentiments, mais Hazanicius assume justement ce mélodrame. « The Artist » est en effet aussi une très belle histoire d’amour simple et émouvante, entre Peppy et Georges mais aussi entre Georges et son cabot-in Uggy : leur duo donne lieu à des scènes tantôt drôles, tantôt poétiques, tantôt touchantes, et là encore parfois au trois en même temps. Hommage aussi à ce pouvoir magique du cinéma que de susciter des émotions si diverses et parfois contradictoires.

    Michel Hazanavicius  évite tous les écueils et signe là un hommage au cinéma, à sa magie étincelante, à son histoire, mais aussi et avant tout aux artistes, à leur orgueil doublé de solitude, parfois destructrice. Des artistes qu’il sublime, mais dont il montre aussi les troublantes fêlures et la noble fragilité.

    Ce film m’a éblouie, amusée, émue. Parce qu’il convoque de nombreux souvenirs de cinéma. Parce qu’il est une déclaration d’amour follement belle au cinéma. Parce qu’il ressemble à tant de films du passé et à aucun autre film contemporain. Parce qu’il m’a fait ressentir cette même émotion que ces films des années 20 et 30 auxquels il rend un vibrant hommage. Parce que la réalisation est étonnamment inspirée (dans les deux sens du terme d’ailleurs puisque, en conférence de presse, Michel Hazanavicius a revendiqué son inspiration et même avoir « volé » certains cinéastes). Parce qu’il est burlesque, inventif, malin, poétique, et touchant.  Parce qu’il montre les artistes dans leurs belles et poignantes contradictions et fêlures.

    Il ne se rapproche d’aucun autre film primé jusqu’à présent à Cannes…et en sélectionnant cet hymne au cinéma en compétition puis en le  primant,  le Festival de  Cannes a prouvé qu’il était avant tout le festival qui aime le cinéma, tous les cinémas, loin de la caricature d’une compétition de films d’auteurs représentant toujours le même petit cercle d’habitués dans laquelle on tend parfois à l’enfermer.

     « The Artist » fait partie de ces films qui ont fait de cette édition cannoise 2011 une des meilleures de celles auxquelles j’ai assisté, pour ne pas dire la meilleure…avec des films  aussi différents et marquants que  « This must be the place » de Paolo Sorrentino, « Melancholia » de Lars von Trier, « La piel que habito » de Pedro Almodovar.

     Un film à ne manquer sous aucun prétexte si, comme moi, vous aimez passionnément et même à la folie, le cinéma. Rarement un film aura aussi bien su en concentrer la beauté simple et magique, poignante et foudroyante. Oui, foudroyante comme la découverte  de ce plaisir immense et intense que connaissent les amoureux du cinéma lorsqu’ils voient un film pour la première fois, et découvrent son pouvoir d’une magie ineffable, omniprésente ici.

    Sortie en salles : le 12 octobre 2011. Vous pourrez également découvrir ce film lors de la soirée du palmarès du Festival du Cinéma Américain de Deauville, le 10 septembre…et si j’en ai la possibilité, je ne manquerai certainement pas d’y retourner une troisième fois, pour vous en livrer une critique plus précise (celle-ci étant basée sur mes souvenirs « vieux » d’il y a 4 mois).

    Un dernier petit conseil : ne regardez pas la bande-annonce (dont je n’ai pas peur de dire qu’elle m’a émue, comme le film), pour conserver le plaisir de la découverte.

    En bonus :

    - Ma critique de « La Comtesse aux pieds nus » de Mankiewicz

    -Ma critique de « OSS 117 : Rio ne répond plus » de Michel Hazanavicius

    -Ma critique d’ « Un balcon sur la mer » de Nicole Garcia

    -Ma critique des « Feux de la rampe » de Charlie Chaplin

     
  • Planche(s) contact 2011 : le nouveau festival de la photographie de Deauville

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    Deauville ce n'est évidemment pas seulement le cinéma mais ce sont aussi des évènements toute l'année au premier rang desquels, depuis 2010, "Planche contact", le nouveau festival de photographie de Deauville qui comprend expositions et concours photo. Je me rendrai sur place pour le couvrir.

    Depuis sa création en 1860 et son réveil en 1912, Deauville a accueilli nombre de photographes majeurs du XXe siècle.

    Depuis quatre ans, Deauville leur consacre chaque été une exposition de plein air sur les Planches. Et, sous l’appellation Planches Contact, la photographie est au centre d’un nouveau festival créé en 2010. Le festival Planches Contact de Deauville s’est donné quatre objectifs :
    > renouveler et constituer un patrimoine photographique en invitant des photographes à porter leur regard sur Deauville et ses réalités ;
    > soutenir de jeunes talents par des résidences et un prix de la photo décerné par un jury de professionnel ;
    > partager la photographie avec un large public, avec des expositions, des rencontres, un concours photographique ouvert à tous ;
    > constituer une collection publique des photographies prises à Deauville

     La deuxième édition de Planches Contact se déroulera du 29 octobre au 30 novembre 2011. Elle propose :
    - cinq commandes et résidences photographiques passées à DAVID AMSTRONG, YVES MARCHAND ET ROMAIN MEFFRE, MASSIMO VITALI, LARS TUNBJÖRK, NAMSA LEUBA.
    - six résidences photographiques des étudiants de l’ECAL (Lausanne) et du Royal College of Art (Londres).

    Planche(s) contact, c'est aussi un concours photo. Rendez-vous le samedi 29 octobre à partir de 21H30 à La Villa Le Cercle. Départ des photographes à minuit. Un rendez-vous convivial, artistique, original auquel je participerai et vous invite également à particioer.  Cliquez ici pour vous inscrire.

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  • Compte-rendu et palmarès du Festival du Cinéma Américain de Deauville 2011

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    Dès ce soir, vous pourrez retrouver ici le palmarès et mes vidéos de la clôture de ce 37ème Festival du Cinéma Américain de Deauville et, chaque jour de cette semaine, de nombreux articles sur ce festival (critiques des films, vidéos, photos). J'en profite également pour vous annoncer qu'Inthemoodfordeauville se poursuivra tout au long de l'année désormais pour, évidemment, toujours vous tenir au courant de l'actualité du cinéma et des festivals à Deauville mais également des évènements s'y déroulant.